Nara

Dans la gare de Kyoto, on se sent presque à la maison

Dans la gare de Nara aussi (après une heure de train)

Et dans les rues de Nara comme partout dans le monde

On prend le bus qui relie la gare aux lieux touristiques de la ville en boucle. On essuie un énorme orage. On fait donc 3 tours complets avant de descendre enfin. Victor en profite pour dormir un peu.

La ville est très aérée. Dans le parc des dizaines de daims (en fait des cerfs  sika) se baladent en liberté.

Dès la sortie du bus, les cerfs viennent à notre rencontre. Les cerfs sont considérés comme des animaux divins, protecteurs de Nara et de tout le Japon. Les Japonais doivent s’incliner sur leur passage, et, jusqu’en 1637, tuer un daim est passible de la peine de mort.

Plus d’un millier cerfs quasi apprivoisés errent en liberté dans la ville en quémandant de la nourriture aux touristes

Les cerfs sont partout autour des vieux monuments

 

Pause bien méritée

Nara est une petite ville et fut capitale du Japon au VIIIe siècle. Des groupes d’écoliers sont venus visiter le site du Tōdai-ji (東大寺) 

La porte d’entrée est fièrement gardée

Le Daibutsu-den (大仏殿) est le bâtiment principal du Tōdai-ji (東大寺). Avec 57 m de long et 50 m de large, c’est la plus grande construction en bois du monde. 

A l’intérieur le Bouddha Vairocana en bronze (1de haut, 437 tonnes). A oui quand même !

Nous rentrons sous la pluie. Bus puis train (on mettra 2h car on a pris le train local qui s’arrête partout) !!!

Direction Kyoto, le ciné de Nijo…

 

 

Kyoto : bambouseraie d’Arashiyama et montagne des macaques

Matinée pluvieuse. Malgré tout nous décidons d’aller visiter la très touristique bambouseraie d’Arashiyama. C’est pas très loin de chez nous en train.

Comme d’habitude la foule nous y attend. Et comme d’habitude des filles qui se selfient en kimono  

La bambouseraie est photogénique mais toute petite et ça ne nous occupera pas toute la journée…

Alors on part explorer la campagne

Et c’est un régal. Les environs de Kyoto sont splendides

Au Japon les montagnes sont sacrées et ça nous change des grosses villes sans verdure

Et si on allait jouer à Tarzan?

On longe la rivière

Et on rencontre un vieux monsieur qui joue avec des bateaux radiocommandés qu’il a lui même fabriqué. Ce sont des répliques exactes des bateaux qui naviguent sur la rivière.

Gros plan sur les chaussures 2 doigts des tireurs de pousse-pousse

A midi Asahi et nouilles pour Legoglück. Un couple partage cette table avec nous.

Glace au thé vert au bord de la rivière

Direction la montagne des Macaques

ça grimpe fort et nous sommes loin de la foule

Les singes sont en liberté 

Et dès l’approche du sommet nous en voyons  

Contrairement aux apparences, ce singe n’est pas en cage … 

mais c’est nous qui le sommes pour les observer en sécurité

Un bon moment pour les enfants de voir ces singes en liberté

Retour by train !

Les écoliers ont fini leur journée

 

 

 

Kyoto : Marché de Nishiki, rencontre improbable avec les Geishas de Gion

On traîne un peu ce matin. Et Glück essaie de trouver un programme qui motive les troupes vu la morosité montante. C’est un casse tête car le lonely planet (et le guide vert un peu moins) sont très mal faits. Un catalogue imbuvable avec des bouts de cartes illisibles.

La ville est peu desservie par les transports en commun. Mais nous trouvons un moyen d’atteindre Karasuma via le train puis le métro

Nous y trouvons une petite librairie avec des livres en anglais et des jeux pour les enfants. Les “LaQ”, une sorte de lego local très bien conçus nous a séduit. Et c’est dans le sac. Avantage : léger et peu encombrant 😉

La clinique cardio-vasculaire recrute chez ses voisins. Les mangeurs de pancakes connaîtront déjà le chemin

Et nous voilà à l’entrée du marché de Nishiki

Très sympa, coloré. Long, étroit, et couvert. Commerçants très gentils.

Des épices qui viendront agrémenter nos plats quotidiens

On achète de-ci de-là au gré de nos envies tout en mangeant en se baladant. Des œufs de poulpe sur l’impulsion d’Alex (et ce fut très bon !)

Des beignets de légumes appétissants mais lourds et insipides

Les algues à sushi

Fabrication de biscuits style Jules Destrooper au petit pois ou maïs (vraiment excellent). Un régal pour les yeux et le ventre.

A la sortie du marché, nous atteignons les galeries commerçantes modernes et moins typiques, avec les mêmes enseignes que partout dans le monde

Des petits temples partout

Une machine infernale !!!! Et un vieux Monsieur qui sait parler français… chose rarissime ! Nous aurons donc l’explication. Cette machine est en fait plutôt sympathique ; elle sert à fabriquer des cercles qui calibrent les biscuits

Et nous arrivons dans le quartier de Gion

Bonjour !

Il se met à pleuvoir. Victor s’endort.

Promenade dans le parc maruyama. Enfin de vrais enfants et notamment un jeune japonais du même âge que Loïc qui joue avec nos marmailles ! 

 

A la sortie du parc, rencontre imprévue avec deux Geishas. C’est une rencontre rare car elles ne sont plus qu’une centaine au Japon. Malgré la pluie, elles acceptent de prendre la pose avec nous. 

Elles ont été très gentilles avec les enfants 

malgré tout Loïc est effrayé par leur maquillage et nous dira ; “Pourquoi elles sont déguisées et peintes en blanc les dames ?”

L’électricité c’est comme à Pékin

Le quartier traditionnel de Gion avec ses ruelles et ses maisons tout en bois. Ici à shirakawa dori, nous sommes dans le lieu des vénérables ochaya et okiya (maisons de geishas)

Retour à la maison

En video :

 

 

Kyoto : Fushimi Inari-taisha (les milliers de torii rouges)

Nous prenons le train pour Fushimi Inari-taisha (伏見稲荷大社)

Ce train n’est pas très accueillant… même ambiance que dans le métro de Tokyo…

…et c’est aussi fatiguant

Nous voici à l’entrée. Nous sommes en pleine verdure. Enfin !!!!ça fait du bien après le paysage urbain de Tokyo

Papa Glück fait le photographe pour les touristes japonais. Et Alex en profite pour faire la vedette

La place est bien gardée

Legoglück fait connaissance avec les renards à bavoirs

Les couples viennent se photographier en habit traditionnel

Et s’admirer !

On prend des forces avant de démarrer le circuit

Et ils s’admirent encore

Attention voilà la mère de Dark Vador

Les torii s’étendent sur des kilomètres. Ils sont en bois peint et portent parfois le nom de leur donateur sur le montant

Pas facile de se photographier en dehors de la foule. on se croirait dans un couloir de métro. Dommage.

Nous nous écartons un peu vers la forêt de bambous

C’est beau mais bourré de moustiques !

Retour aux tori. Où la foule devient moins dense au fur et à mesure de l’ascension

Certains torii sont endommagés

Offrande par SMS ???

Mini-torii

La vue sur Kyoto du sommet

Les instructions sur l’hygiène des fontaines sont limpides 😉

En musique ça fait un peu “métro” :

De Tokyo à Kyoto et installation à Tambagushi

Nous quittons notre petit studio de Tokyo sans avoir eu l’occasion de rencontrer nos hôtes.

Direction la gare centrale où nous activons nos JR pass pour prendre le Shinkansen (train à grande vitesse) vers Kyoto

Le fameux train à tête de murène…

Et ses WC du futur… 

Arrivée à Kyoto après 3 heures de train (et un changement) dans un paysage urbain et morne. Nous ‘avons pas eu la chance d’apercevoir le mont Fuji à cause de la météo. 

C’est la rentrée des classes 

Le métro de Kyoto est simplissime comparé à celui de Tokyo

Nous prenons le train local JR jusque Tambagushi sur les instructions de notre hôte. Et on démarre un nouveau jeu de piste à la sortie de la station

Nous y sommes !!! Le quartier est très calme. Avec de petites maisons mitoyennes ; ça change des grands immeubles de Tokyo 

Bonne surprise nous avons une grande maison. Une chambre pour chaque enfant et de quoi cuisiner correctement. Un vrai luxe au Japon

Et des WC high-tech !  

Enfin un vrai supermarché. Et en plus, il est accessible à pied !

Tout est hors de prix. Pas du tout écolo : des minuscules quantités dans des tonnes d’emballages

Beaucoup de gens sont masqués et peu communicants

On va pouvoir enfin déguster la bonne cuisine de Dame Glück !

On a fait une infidélité au duo Kirin/Sapporo

Sur le chemin du retour on se régale à regarder les affiches des campagnes et à imaginer les légendes pour les différents concurrents.

“Ne vous inquiétez pas tout va bien se passer…” “Faites moi confiance” “Donnez moi votre vélo tout ira bien”

“Allez t’es un gagnant mais je vais t’en coller une”

Le matrix Japonais : tout va bien Mr Smith ?

ça fait bien rigoler les enfants…  ainsi que les demi voitures de poste

Dans la gare les climatisations sont design

Les pizzas “de Papa” sont figées

Malheureusement dans la restaurant à plancha, Victor s’est brûlé la main

Nous tombons sur un restau à nouilles médiocre. Les seules vraies nouilles étaient les serveuses. C’est bien la première fois qu’on aura mal mangé dans un restau au Japon

Tokyo : Tsukiji, le grand marché au poisson

Pour notre dernier jour à Tokyo, nous allons faire un saut (de métro !) à Tsukiji – Le plus grand marché aux poissons du monde 築地市場

Alex est encore coincé comme une sardine entre 2 japonais aux airs de merlans frits

A la sortie, le parcours à pied est plus simple que d’habitude

On ne peut pas le louper

Mais un fois dedans le plan est vaste

Ce pittoresque marché devait être déménagé pour laisser place à des infrastructures en vue des Jeux Olympiques de Tokyo 2020. Or les artisans se sont mobilisés car ils ne voulaient pas quitter les lieux d’autant que le site qu’on leur proposait était apparemment une ancienne zone industrielle polluée.

La zone de transit du marché de gros est énorme

Les étals sont très soignés

On peut même déguster sur place

Tout ça nous a donné faim, c’est l’heure de se mettre à table dans un bon petit restau du marché

Avec un très bon accueil comme souvent dans les restaurants. Les Japonais n’ont pas l’habitude de voir des enfants dans leurs restaurants mais se sont toujours adaptés pour nous.

Nous passons par le Tsukiji Hongan-ji 築地本願寺, temple bouddhiste. A l’accueil chaleureux

Ce temple a été construit, détruit, et reconstruit de nombreuses fois

Dans le métro du retour, petit souvenir finlandais 😉

Pour la première fois nous voyons un enfant dans le métro, seul…

… il semble habitué à faire le trajet seul. Son air tellement triste nous a touchés

En mouvement :