Des Galápagos à Cuenca en passant par Guayaquil… longue journée de trajet

22 mars 2018 : Galápagos, Puerto Ayora
On se lève pas trop tard car il faut partir pour l’aéroport car aujourd’hui, on quitte les Galápagos. C’est dur pour les enfants.

ça va être une journée marathon : taxi-bateau-bus-avion-bussette pfff !!!

D’abord, 1 heure 30 de taxi pour aller au Nord de Isla Santa Cruz

puis 15 minutes de bateau… pour traverser le canal Itabaca jusqu’à Isla Baltra

Puis 15 minutes de bus jusqu’à l’aéroport de Baltra

puis 2 heures d’attente pour monter dans l’avion, pffff…

Notre destination (provisoire) Guayaquil en Equateur mais on est attendus ce soir à Cuenca au cœur des Andes

Décollage à 11h30 : on s’éloigne d’Isla Baltra, de son aéroport,…

et de Isla Seymour Norte tout au loin

Pendant 1000 km , on survole l’océan Pacifique en direction du Continent Américain

Voici le continent : les zones de cultures sont inondées. On peut dire que nos sommes dans une zone humide. Quel contraste avec les Galápagos!

La ville de Guayaquil bordée par l’énorme fleuve le Rio Guayas avec un immense port

4 millions d’habitants

Des bidonvilles qui s’étendent sur les collines voisines

Guayaquil est aujourd’hui sous la grisaille et la chaleur. Pas sexy cette ville industrielle qui est le cœur économique de l’Equateur


L’avion s’est posé en douceur à côté d’une statue impressionnante en bronze de 30 mètres, hommage aux indiens Huancavilca : Guayas et Quil dont le nom a été donné à la ville.

On change l’heure de nos montres : on perd 1 heure

Pas de formalités de douane 🙂 car c’était un vol domestique

Une vieille Dodge ça vous plait les gars ?

Une fois nos sacs récupérés, on décide se renseigner sur le système bussette (minivan privatisé avec chauffeur) pour se rendre à Cuenca. Pour une famille de 5 comme sous c’est beaucoup plus pratique que le bus classique ou que de louer une voiture.

Allez en route cavallero !

On repasse devant Gayas le Grand chef Puna, qui selon la légende combattit les Incas puis les Espagnols. Le gars aurait tué sa femme Quill pour éviter qu’elle ne soit capturée .

En face, la statue de quelques gars pas du tout pacifiques …..

tout comme les nôtres dans le van 😀

On passe sur l’énorme pont traversant Rio Daule et Rio Guayas

Il est plus de 15h00 et on a faim ! Nuestro Conductor nous propose une pause repas dans les faubourgs est de la ville. Au menu un mix mexicano-americain. Pas très diet tout çà mais on a faim 😉

Comme dans beaucoup de villes d’Amérique latine la voiture est un luxe que peu de gens peuvent se payer , même s’ils en auraient bien besoin ne serait-ce que pour faciliter leur travail.

On quitte progressivement la ville. On s’aperçoit vite que la route est dangereuse et que les gens conduisent comme des fous furieux sans respecter les piétons ni les 2 roues.

D’ailleurs on en voit vite les effets sur les bords de route…

Puis on arrive dans la campagne

Les abribus sont plutôt écolo 😉

Pas la moindre ville pendant 150 km… au début c’est plat avec des plantations à perte de vue : cacao, bananes ….

Avec pleins de petits producteurs venus vendre en bord de route

Quoi il est pas frais mon poisson ?

ça y est : les montagnes font leur apparition !

Puis on atteint la haute montagne : les Andes

Notre chauffard est très pressé : on a le dos cassé par les nids de poule, les bouts de routes effondrés dans le ravin, les centaines de virages en épingle à cheveux…

On franchit le col sous la pluie. La Sierra est dans le brouillard

Agricola sur l’ipad : Glück 1 – Dame Glück 0 —-> c’est rare et ça se fête 😉

Après plus de 4 heures de route, on y arrive enfi à Cuenca à la nuit tombée (19h00)

19h15 : A l’adresse de notre AirBnB : personne…. notre chauffeur est pressé de repartir mais on finit par le convaincre d’attendre un peu. Comme son téléphone portable est déchargé (et que le nôtre est sans carte sim), il négocie gentiment avec le gérant d’une boutique pour qu’il appelle notre logeur.
Notre chauffeur doit ensuite rejoindre sa famille ce soir à Guayaquil. Il repart donc refaire les 4 heures de trajet dans l’autre sens et de nuit !

La femme de Thomas, notre hôte, arrive finalement assez vite pour nous installer dans l’appartement. C’est super, plein centre, magnifique vue sur la cathédrale 

Dame Glück va faire les provisions rapido en bas (on est dans la rue principale) pendant que les diablotins se détendent après cette longue longue journée de trajet depuis les Galapagos

En video :

Galápagos : les fonds marins autour de Isla Seymour Norte, et le catamaran

21 mars 2018. Il est midi. Après notre marche de 2 heures à Isla Seymour en plein soleil, on remonte sur le catamaran. On a chaud et on a besoin de baisser le thermostat

Au programme : Roberta nous propose de nous mettre à l’eau pour du snorkeling en dérivante le long de Isla Seymour

C’est parti ! Lolo est le premier à l’eau

Suivi d’ Alex, Victor et Maman !

L’eau est un peu frisquette avec quelques courants froid mais pas besoin de combinaison pour nous (alors que les allemands sur-équipés ont mis des combi intégrales et des palmes king size 😀 ). Dame Glück assure Victor qui au début n’est pas tranquille mais il se calme vite, émerveillé par ce qu il voit dans l eau.

En quelques coups de palme on peut attendre le fond à 5 mètres de profondeur. Il est formé de rochers tombés des falaise de l’île et le corail en recouvre une bonne partie.

Glück Senior et Glück Junior se régalent.

L’eau est d’une transparence incroyable

Au total, une heure de snorkeling dans une eau transparente et profonde, jolis bancs de poissons, poissons napoléons, poissons perroquets, petites raies ….

Jamais on n’a vu un banc de poisson aussi gros !!!! Il y en a partout. On ne sait plus où donner de la tête.

Alex survole un tapis de poisson

Mais les 2 petits fatiguent vite et se refroidissent, Dame Glück remonte avec eux sur le bateau un peu avant le reste du groupe…
Dame Glück s’est sacrifiée pour Glück et Alex et elle leur donne le feu vert pour rester autant qu’ils peuvent.
Du coup ils sont décidé à s’en mettre plein les yeux !!!! Et ils remonteront bien après tout le monde…

Napoléon

ça y est on est tous sur le catamaran… et ça sent bon…

L’équipage nous a concocté un festin, thon frais en sauce, purée de brocolis, asperges, et aubergines, puis bananes caramélisées. Un régal 

On mange en naviguant

On s’approche la plage de las Bachas sur l’île Santa Cruz

On débarque sur ce bout de plage deserte via le zodiac

Au programme : détente/baignade/snorkeling 

Victor est aux anges

Visiblement , Roberta aussi est aux anges …..

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On est déjà en milieu d’après-midi et il est l’heure de partir

Retour en catamaran vers la côte nord de Santa Cruz .

Au total aujourd’hui : une bonne petite navigation tranquille

Une fois à quai. Il faut attendre les membres de l’équipage. Les enfants en profitent pour faire la rencontre de Cacao, un chouette petit chien des gardes – côte

On rentre à Puerto Ayora en fin d’aprés-midi en bus

Loïc s’endort d’épuisement et Victor a encore une sérieuse accélération du transit.
On va récupérer le linge chez la petite mamie de la lavanderia puis on se détend à la chambre de l’hostal jusqu au lendemain.

Video de la plongée à Isla Seymour Norte:

Galápagos : les frégates, les iguanes terrestres d’Isla Seymour et une super soirée avec Beat et Sarah

Isla Santa Cruz, 20 mars 2018, 17h00 : Après notre traversée périlleuse en provenance de Isla San Cristobal, on arrive à Puerto Ayora. On marche jusqu’à l’hostal qu’on avait réservé. Le patron a des soucis de fuites d’eau dans notre chambre…

mais il est sympa comme tout et nous trouve une autre chambre encore plus jolie avec une jolie vue sur le cœur de la ville .

On se pose un peu. On trouve une lavanderia tenue par une adorable vieille abuela dans une petite ruelle. Demain on sentira bon ! 

Ce soir, Sarah et Beat transitent également par Santa Cruz et on s’est donné rendez-vous.
On va manger ensemble aux Rocks

On fêtera dignement l’anniversaire de Sieur Glück !

Un très bon moment

(même si les petits sont excités)

Après cette bonne soirée, on se quitte heureux. Demain ils partent pour San Cristobal et nous ce sera notre dernière journée aux Galápagos. Mais on garde contact 😉

Le lendemain, il faut se lever tôt.
Après de longues hésitations , et bien conseillés par Karine et Sandrine , on a choisi de passer la dernière journée sur l’île Seymour ; entre autres pour enfin voir les fameux iguanes terrestres avant de quitter les Galápagos !

On petit déjeune dans “notre” agence de taxi-boat habituelle.

Devant le port, les taxi pick-up attendent les clients à l’ombre des flamboyants

Nous, on monte dans un bus rempli par un groupe d’allemands étudiants en biologie animale encadré par leur prof grisonnant visiblement en chasse… qui n’a d’yeux que pour les jeunes filles… et se révèlera étonnamment peu respectueux de la faune et de la flore 🙁

On traverse l’île Santa Cruz du sud au nord… toujours tout droit la seule route au milieu de la nature…

Après une heure de route, on arrive au canal Itabaca qui sépare Isla Santa Cruz et Isla Baltra

On embarque sur un petit zodiac qui nous conduit au catamaran sur lequel on passera une bonne partie de la journée à naviguer. A la différence des autres embarcations qu’on an pris aux Galapagos, on est dans le luxe aujourd’hui. Direction: Isla Seymour une petite île au nord de Isla Baltra

On passe à côté d’Isla Daphne Mayor

et on s éloigne de Isla Santa Cruz

Une fregate (un mâle) survole le catamaran en exhibant son beau jabot rouge

Il est 10h15. Après 1h30 de navigation tranquille, on débarque sur l’île Seymour Norte (13 km). Notre catamaran mouille juste devant.

Un gros lézard impassible nous regarde passer…

Lolo : “regarde papa là un iguane se cache dans les buissons !”

Bien vu Loïc !

ça y est !!! les voilà !!! c’est la première fois qu’on voit des iguanes terrestres. Ils se déplacent avec nonchalance

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On fera une très belle balade pendant 2 heures où on verra quantité d’iguanes terrestres, de frégates, de fous à pieds bleus, d’otaries. C’est très très beau et impressionnant. 

Ces otaries endémiques des Galápagos (leones marinos en espagnol ou sea lions en anglais) se différencient des phoques par le fait qu’elles ont des oreilles proéminentes et des pattes arrières en forme de nageoire non fusionnées.

Les otaries et les iguanes terrestres vivent ici en osmose


Roberta notre guide est très sympa. Elle nous explique bien l’ecosystème de l’archipel. Sur cette île (Seymour) les iguanes terrestres des Galápagos (conolophus subcristatus) ont été transférés à partir de Santa Cruz. Ici ils ne sont plus menacés par les chiens, les chats, et les rats qui sont des prédateurs importés par l’Homme.

Cette espèce endémique était autrefois extrêmement fréquente dans tout l’archipel mais les populations ont souffert sur les autres îles.

Les enfants se prennent pour des explorateurs du Monde Perdu (Jurassic Parc 2)

Ils peuvent mesurer jusqu’à 1m50 pour 13 kg. Avec leur crète épineuse qui en impose ils peuvent avoir l’air effrayant mais ils ne sont pas agressifs et nous regardent tranquillement.

Roberta nous montre un cimetière d’otaries.

Comme ici ce bébé probablement mort de faim en attendant le retour de sa mère. Celle-ci n’est probablement jamais revenue de sa pêche car dans l’océan les prédateurs des otaries comme les requins sont nombreux

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On s’apercevra vite lors de la sortie le groupe d’étudiant allemand qui nous accompagne qui se dit “vert” est tout sauf respectueux envers la faune locale. GRRRRR !!!!

On se rapproche des points de nidification des frégates superbes (fregatas magnificas)

2 mètres d’envergure

Lolo est intrigué par leur énorme “pomme” d’Adam toute rouge : “ils ont mangé trop de pommes ?”

Leur plumage non étanche ne leur permet pas de plonger ni de nager.

Les enfants commencent à fatiguer car notre groupe est un peu statique (on n’a plus l’habitude de marcher aussi lentement) et on commence à cuire au soleil

On assiste aux parades nuptiales. Les mâles gonflent leur sac gulaire rouge vif sous le cou (pomme d’Adam selon Loïc) et tapent dessus avec leur bec pour faire un bruit sourd de percussion rythmée. Bon les photos sont surexposées car on s’est gouré dans les réglages du reflex 😉

Allez ça donne un effet irisé aux Glücks !!!

On n’est pas bien là ?


Legoglück à pieds rouges et Fou à pieds bleus !?

On observe à nouveau les iguanes aux airs de dinosaures.
Ils possèdent une relation symbiotique avec les oiseaux, qui les débarrassent de leurs parasitess, ce qui les protège et constitue une source d’alimentation pour les oiseaux

Les iguanes sont très majoritairement herbivores et comme l’eau douce est rare ils mangent les cactus opuntia pour s’hydrater , et même les épines !

Ce spécimen n’est plus très frais !!!

Déjà plus de midi : allez !!! il est temps de remonter sur notre catamaran… via le zodiac

En video :

Galápagos : de San Cristobal à Santa Cruz… la plaisance c’est le pied !

20 mars 2018, 14h30 : il est temps pour nous de quitter Isla San Cristobal. Nous faisons nos adieux à David (ou plutôt nos promesses de retrouvailles à la Réunion) pour monter sur notre bateau, enfin si on peut appeler ça un bateau… car encore une fois, la coquille de noix sur laquelle on embarque n’est pas celle qui était prévue. Comme d’habitude tous les bateaux partent en même temps pour faire la traversée .

Les otaries qui ont investi les autres barcasses nous regardent passer d’un air distrait

Au loin, on voit les oiseaux tourner autour des bateaux de pêche… ils ont faim !

On est beaucoup trop nombreux sur le bateau par rapport à sa taille, et on a la visite des gardes côtes qui viennent interroger l’équipage et prendre une photo. Visiblement pour eux le bateau est en surcharge… pas très rassurant… Tout le monde est crispé

On s’éloigne à vitesse grand V de l’île San Cristobal

et du Leon Dormido

C’est la première fois depuis la traversée en Mer Baltique qu’on n’est vraiment pas rassurés. On a le vent dans le dos et le capitaine pilote mal. Il dépasse les crêtes de houle ce qui fait piquer la poupe du bateau et taper la proue dans les creux. Et sent que le bateau surchargé ne demande qu’à se renverser… et nous sommes en plein Océan Pacifique… sans gilets de sauvetage en plus !

Et ce con fait la course avec les autres bateaux

La plaisance c’est le pied ! Beau cadeau d’anniversaire pour Mr Glück 😉

Pendant la traversée on apercevra plusieurs bancs de poissons volants

On longe l’île inhabitée de Santa Fe

Après 2h30 de navigation, on arrive à Isla Santa Cruz. Le capitaine laisse partir à la mer les sacs plastiques plein de vomi (des passagers) dans le port. On lui montre notre désapprobation mais il s’en fout . Il est en train de tuer l’écosystème unique de l’archipel qui en plus est son gagne pain !

On remonte sur les pangas pour accoster à Puerto Ayora

On est quand même contents d’être arrivés à bon port après cette navigation imprudente

En video :

Galápagos : Tijeretas San Cristobal et belle recontre avec Dav Venture

19 mars 2018 : après une nuit compliquée… notre première turista familiale du voyage, on a besoin de rester tranquille.

On se repose dans notre hostal.

En fin d’après-midi, on donne rendez vous à David, un ami de Gaëlle, qui fait une trans pacifique et est actuellement aux Galápagos, qui propose qu’on se rencontre pour faire connaissance à l’aire de jeu en bas de chez nous. C’est parfait, les enfants pourront se défouler et on discutera tranquille en regardant les otaries de le Playa de los Marinos

C’est à nouveau une très chouette rencontre. On accroche tout de suite , il est très intéressant, ouvert d’esprit , cool . Quand on pense qu on était presque voisins à la Réunion sans se connaître ! On discute beaucoup de nos vies et envies respectives, de nos voyages en cours . Et on se dit que si c’ est possible, ce serait bien de se revoir pour manger un morceau le lendemain, avant notre retour sur Santa Cruz 

On va se coucher tôt car on a besoin de récupérer.

Le lendemain, 20 mars, c’est le printemps… euh non ! ici, sur l’Equateur, il n’y a pas de printemps !!!! le 20 mars c’est plutôt l’anniversaire de Glück.

Le temps est un peu grisou et lourd mais tant pis on a décidé de faire un tour dans la nature. On prend un taxi jusqu’à la Playa Mann

De là on va au Centro de Interpretacion, un lieu culturel d’accès libre, plein d’informations sur la géologie et l’écosystème de l’île.

On continue par une jolie promenade très bien aménagée dans une forêt de cactus

Le chemin est en pierre de lave !

Les fregates nous guident jusqu’à l’Océan. Au loin : le fameux Léon Dormido, un îlot rocheux vestige d’un cône volcanique érodé.

On arrive à notre but : Muelle Tijeretas

Une jolie petite crique où vivent des pélicans…

…et des otaries bien sûr !

Et elles ont investi les lieux : l’échelle pour descendre à l’eau leur appartient!

Il faut donc les contourner 😉 Dame Glück se lance

Mission réussie !

Pas facile de descendre hein Alex ?

Victor et Loïc sont plus effrayés par les crabes rouges qui leur barrent le passage que par les otaries

les otaries sont joueuses

Tranquillement, les fous à pieds bleus nous regardent nager

Sauf que les enfants ne sont pas très rassurés… les crabes ça sait nager Papa? et est-ce qu’ils peuvent nous rattraper et nous pincer ?

Une otarie viendra nager avec nous.

Et on verra aussi d’énormes bancs de poissons.
On remercie les habitants de cette jolie crique sauvage pour leur sociabilité 😉

En video

On reprend notre bout de chemin dans la forêt pour aller jeter un coup d’oeil à…

la Playa Carola

et on reprend le chemin du Centro de Interpretacion

On se rapproche de la petite ville de Puerto Baquerizo Moreno

Le drapeau Équatorien flotte devant le petit port. Il n’y pas si longtemps un homme nommé Manuel J. Cobos avait fondé une société “utopique” en faisant travailler des prisonniers dans son usine de sucre et en fabriquant sa propre monnaie le Cobo. Finalement l’utopie lui coûta la vie 🙁 car ses “ouvriers” se rebellèrent.

Comme convenu on retrouve David, notre compagnon de voyage du bout du Monde.

Lui qui a ses habitudes depuis quelques jours à San Cristobal, nous trouve un super petit resto au menu familial.

Un très bon moment 

Il est 14h00. Il est bientôt temps pour nous de quitter l’île San Cristobal pour de nouvelles aventures car nous avons un bateau à prendre. David nous accompagne jusqu’au quai.

Devant le port, il explique aux enfants que ce joli bassin représente la carte de l’archipel des Galápagos

En attendant notre bateau sur le quai, il explique aux enfants comment fonctionne un bateau à voile à travers les Océans.

On passe un très bon moment et on projette de se revoir à la Réunion 

Voici le lien vers les magnifiques Dav’Ventures:

https://www.facebook.com/SoifdAventures/

https://www.youtube.com/channel/UCXpgBsA_oklkleusHQIMvMw/videos

Galápagos : Isla San Cristobal. Rencontre exceptionnelle avec Karine et Sandrine… et aussi avec les otaries !!!

17 mars 2018, 16h00 , Galápagos : nous débarquons sur la magnifique et sauvage  Isla Isabela. L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est Capture6-1024x842.jpg.

A l’arrivée, plein d’otaries nous attendent au débarcadère de Puerto Baquerizo Moreno, mais attention, ici les mâles peuvent être agressifs et ils essaient de mordre. Ils sont énormes et ont de bonnes dents. 

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Notre hostal est tout près mais on ne le savait pas, du coup, on se fait avoir par un taxi roublard qui nous fait faire le tour de cette petite ville avant de revenir quasiment au point de départ . Bon, c’est noté : au retour on fera le trajet à pied.

On peut dire que le propriétaire de l’hostal n’a pas fait les choses à moitié. La casa de Jeimy, ce n’est pas une petite maison familiale mais plutôt un énorme immeuble. L’ambiance est quand même sympa, plutôt baba cool surfer (une compétition internationale a lieu ici dans quelques jours

On a une très grande chambre au dernier étage (y muy limpia) avec vue sur mer et balcon. Un vrai mirador.

Petite partie de siete familias

Le soleil se rapproche de l’horizon. Et si on allait fair un petit tour au bord de la mer ?

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On part pour faire quelques courses mais en se baladant en front de mer, on tombe nez à nez sur une énorme colonie d’otaries

Les otaries des Galápagos appelées ici Leones Marinos de Galápagos sont endémiques

Un lieu magique ! Elles font un bruit incroyable et passent leur temps à communiquer entre elles. Elles aboient très fort émettent aussi des grognements. Et les bébés ne sont pas en reste entre 2 tétées.

Les mâles peuvent peser jusqu’à 250 kg pour une taille de 2m50 !!!

Il y a 40 ans leur nombre était estimé à 40 000 mais une décroissance de 60% a été constatée sans savoir si l’espèce est réellement en danger 🙁

Par hasard, on rencontre Karine et Sandrine qui comme nous sont bouche bée devant ce magnifique spectacle que nous offre la nature

Des moments magiques à observer ces animaux étranges qui ont investi le port ! Ce sont eux les vrais habitants de Isla Sans Cristobal.

On est très heureux d’avoir partagé ça ensemble 🙂

Le soleil se couche

On décide de continuer à faire connaissance avec Sandrine et Karine autour d’une bière. Elles sont très sympa , et adorables avec nos enfants. On partage la passion des voyages, des autres cultures, des animaux, le tout avec respect.

Une très belle rencontre, de celles qui sont marquantes et précieuses durant notre voyage. C’est bon de croiser de belles personnes comme elles, bienveillantes, et respectueuses de la nature et des autres, tolérantes avec les enfants 
 
On poursuit la soirée en allant manger ensemble en bas de chez nous, dans un super snack à menus simples et pas chers. On passe une très bonne soirée.

Le lendemain, après une bonne nuit à la Casa de Jeimy L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est 2018-12-12_212543.jpg.

De notre balcon on a une superbe vue sur la ville de Puerto Baquerizo Moreno

Avec ses 4 800 habitants, c’est la seule ville de l’île San Cristobal. Partout ailleurs, c’est une réserve naturelle

Glück nous a dégoté une super panaderia dans le barrio (quartier). Du coup on s’installe tranquillement sur la terrasse de notre hostal avec des croissants presque comme ceux de chez nous pour le petit déjeuner ! Quel luxe,un vrai régal !

On a même trouvé du yaourt en cubi. Un conditionnement familial un peu plus écolo.

Après un peu de repos dans la chambre, on se met en route tranquillement en fin de matinée.

Notre idée, c ‘est de manger au marché du coin qui a très bonne presse.

On ne peut pas dire que l’ambiance soit au rendez-vous. L’accueil est glacial,  que ce soit des habitants ou des commercants.

Et pour la première fois depuis qu’on est en Amérique Latine, on mangera très mal.

Même Loïc fera diète après quelques bouchées.  Il a raison car le résultat se fera sentir dès ce soir : la première turista familiale du voyage !

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On décide de marcher le long du port

Quelques otaries dorment à l’ombre mais la plupart sont parties chasser en mer.

au nez et à la barbe d’un pélican

Ici aussi l’activité est centrée sur les sorties en mer pour les visiteurs. Mais comme à Isabela, on est loin du tourisme de masse et le pueblo est vraiment tranquille.

On se renseignera sur les possibilité de sorties mais on va opter pour un séjour tranquille à Puerto Baquerizo Moreno en se limitant à la découverte de lieu avec nos propres savates.

On croise Karine et Sandrine a une terrasse de restau en partant à la Playa Mann

Les enfants sont apprivoisés !!! Elles sont incroyables!

Puis on poursuit jusqu’à cette jolie petite plage au Nord de la villeL’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est 2018-12-12_215558.jpg.

Encore un petit coin de paradis où la faune sauvage va nous surprendre

à première vue ça ressemble à une plage d’une jolie petite station balnéaire

sauf que dès qu’on barbote un peu dans l’eau des otaries viennent nager à notre rencontre !!!!

Elles imitent même l’aileron d’un requin avec une de leur nageoire pectorale 😉

Le clou du spectacle : 2 bébés otaries viennent nager au milieu des baigneurs !!!

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On passera tout l’après midi à se baigner ici, au beau milieu otaries.

Alex et Loïc se font un copain pour jouer au beach -tennis

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On revient à pied au port. On trouve une héladeria pour déguster une glace pour le goûter

Victor à Alex : “moi je t’aime pas… je t’adore !!!!”

On revient sur la plage du port où vit la colonie d’otaries près de l’aire de jeu. On y a rendez-vous avec Sandrine et Karine 😉

Karine et Sandrine : merci à vous pour ces superbes photos de nos 3 galopins !

On retourne boire une bière avec les filles et on passe à nouveau un très bon moment à discuter de nos vies en compagnie de Legoglück.

Au bout d un moment, les petits nous font payer le fait qu’on s’occupe moins d’eux et commencent à mettre le bazar dans le bar , on ne pourra plus y retourner dans celui là 😉

On mange au restau à combos et on file au lit

Nuit horrible car Victor se vide et on doit le doucher 5 fois … la turista familiale commence !!!!!

Les 3 videos de ces moments inoubliables :

 

Galápagos : la navigation c’est le pied !!! De Isla Isabela à Isla San Cristobal

Puerto Villamil, 17 mars 2018. Lever 5 h00, on se sort du lit rapido… le taxi nous attend à 5h15.
Gros stress car on ne retrouve plus le reflex. Glück l’a laissé sur la terrasse dehors hier soir. Heureusement Jackson notre hôte nous l’a mis de côté.

Jackson et sa femme se sont levés pour nous accompagner à la muelle (le quai). Ils nous portent les sacs, nous aident pour les enfants, nous font passer en priorité les files d’attente et nous mettent dans le bateau : ils sont incroyables ! on a eu beaucoup de chance de les avoir pour hôtes

Le jour se lève à peine quand nous démarrons à bord de notre petit bateau un peu spartiate

On y retrouve les 2 françaises qui étaient sur le bateau aller, Karine et Sandrine. On discute pas mal. On sympathise ; elles sont adorables : bienveillantes, respectueuses, de grandes qualités humaines. On pressent -et cela se confirmera par la suite – que c’est le début d’une autre belle et importante rencontre de notre voyage. Elles vont aussi à San Cristobal cet après midi ! Mais pas par le même bateau que nous….

Le trajet est un peu houleux avec quelques bonnes vagues. L’équipage fait même un stop lorsque Loïc a envie de faire pipi pour qu’il ne soit pas projeté sur les murs de los baños.

On arrive tôt (7h45) à Isla Santa Cruz. Le trajet était plus court qu’à l’aller (2h00).

Dans le port de Puerto Ayora, les otaries ont pris possession de certaines embarcations !!!!

Comme il fait déjà très chaud, nous nous mettons à l’abri du soleil dans un bar où on dégustera un délicieux et rafraichissant jus de mûre

Nos serveurs sont un jeune couple de belges bruxellois qui travaillent  pour financer leur voyage au long cours. Ils viennent de traverser le Pérou et la Bolivie et comptent remonter en Colombie. On papote, on partage nos expériences

Puis on part à la recherche d’une chambre pour nos 2 dernières nuits à Santa Cruz.

Ensuite, on va voir avec l’agence de taxi-boat pour organiser nos dernières excursions aux Galápagos sur les conseils de Karine et Sandrine.

On espérait pouvoir visiter Santa Fe,  mais c’est complet. Une autre option pour voir les iguanes terrestres  et les frégates serait de visiter Isla Seymour. ça nous tente bien, on signe. Ce sera dans 4 jours après avoir visité Isla San Cristobal.

En attendant notre 2e navigation du jour, on va laisser les enfant se défouler devant les quais de Puerto Ayora

14h00 : C’est la queue leu leu pour monter à bord de la panga. Les chinois ont des tenues spéciales pour se protéger du soleil 😉

ça y est la panga nous conduit vers notre bateau

Et c’est parti sur notre coque de noix. 90 km de navigation à toute vitesse direction Isla San Cristobal

On se met à l arrière car il fait étouffant dans le bateau. Dehors il n’y a pas d’ombre et en plein soleil ça tape! On se protège comme on peut.

Lolo ne perd pas le Nord 😉

A bord de notre barcasse ballottée par la houle, on croise quelques navires de croisière de luxe un peu plus stables

Les enfants sont KO

Après 2 autres heures de navigation (90 km), Puerto Baquerizo Moreno, la seule ville de l’île San Cristobal, est en vue

C’était une grosse journée de navigation

A l’arrivée, plein d’otaries au débarcadère, mais attention, ici les mâles sont agressifs et ils essaient de mordre. Ils sont énormes et ont de bonnes dents. 

Notre hostal est tout près mais on ne le savait pas, du coup, on se fait avoir par un taxi roublard qui nous fait faire le tour de cette petite ville avant de revenir quasiment au point de départ . Bon, c’est noté au retour on fera le trajet à pied

En video:

Galápagos : les fous à pieds bleus de Los Tuneles à Isla Isabela

16 mars 2018 : après notre matinée de snorkeling, on remonte tous sur le bateau pour le repas (poisson et riz)

à l’approche des tuneles, les otaries montent la garde…

les crabes rouges aussi !

Après avoir brillamment négocié la houleuse traversée de la passe, on approche de la côte

Puis on navigue vers un site d’observation des fous à pied bleus qu’on verra de très près !

On descend du bateau et on marche au milieu des cactus sur les coulées de lave

Lolo est impressionné. On lui explique bien qu’il faut rester à distance pour ne pas trop déranger ce fou à pieds bleus

 

On se remet en route direction l’océan 

Sur le trajet du retour, une colonie de pétrels sur un rocher dont on fera le tour en bateau

Un grand merci à Gabriel notre guide

On approche de Puerto Villamil

Comme d’habitude les iguanes marins font le spectacle quand on débarque au petit port

Une course de chevaux se prépare dans les rues en terre battue

El cavallero listo

On rentre à pied à la maison après un passage par la boulangerie

On dépasse le bus scolaire (bus-colère comme disait Loïc ;-))

On se détend un peu et on discute longuement avec Sarah et Beat

C’est aussi notre dernière soirée ici. Des adieux plein d’émotion avec Jackson et sa famille

On va vite fait manger en ville.

En rentrant, on finit les sacs car demain, lever à 5h00 pour reprendre le bateau en direction de Isla San Cristobal

En video :

 

 

 

Galápagos Los Tuneles : snorkeling avec requins, hippocampes, serpents de mer, et tortues

Galápagos, 16 mars 2018 : Isla Isabela

Ce matin, on se prépare tranquillement car l’excursion en bateau “aux tuneles” ne démarre qu’a 11 h00.

Après le petit déjeuner, on rencontre un couple de suisses-allemands qui logent également au Cielo Azul : Beat et Sarah sont très sympa. Ils voyagent aussi autour du Monde. Le courant passe tout de suite, on discute un bon moment… notre petit doigt nous dit qu’on les reverra bientôt 😉

A 10h45, on part en pick-up jusqu’à l’agence au centre du pueblo.  Là, on apprend que contrairement à ce qu on nous avait dit au moment de la réservation, les combi  sont à louer en su . L’eau est chaude, on s’en passera !!!  Ils font tout de même un geste pour les enfants et leur prêtent les combinaison (surtout pour se protéger du soleil).

Au petit port de Puerto Villamil, les otaries sont encore là pour nous accueillir.

On monte sur le bateau (sans panga pour une fois !) avec notre équipage : Capitaine Alex et son Second Victor. ça ne s’invente pas ! une coïncidence qui met tout de suite une bonne atmosphère 😉
Et nous voilà embarqués avec un duo d’Alex(s) et un duo de Victor(s)

A gauche sur la photo, notre guide Gabriel est vraiment super ! Il fait partie des guides officiels qui encadrent les excursions pour que le tourisme ne dégrade pas (trop)  la faune et de la flore si uniques et fragiles aux Galápagos.

On longe cette longue plage interdite d’accès car c’est l’un des plus important site de ponte des tortues

Les petits ont déjà faim car il n’est pas loin de midi. On leur donne de quoi prendre des forces avant de se mettre à l’eau.

Victor s’endort d’épuisement malgré le roulis

Après 45 minutes de navigation on arrive dans une baie rocheuse protégée de la houle par la barrière de corail tout au sud de l’île

C’est ici qu’on se met à l’eau pour faire du palme-masque-tuba 

Victor aussi est motivé pour aller voir les poissons et les tortues

Notre guide Gabriel nous accompagne avec le reste du groupe. Ici la visite se fait obligatoirement avec un guide agrée car nous sommes au cœur de la réserve naturelle. Le site est bien surveillé et doit rester préservé et contrôlé.

Tout de suite la magie de la vie sous-marine opère

Alex a repéré un groupe d’énormes tortues de mer (tortues vertes)

Glück montre à Alex comment s’approcher des tortues sans les gêner et sans les effrayer

On explique aux enfants qu’il est important de ne pas lui faire peur et de la laisser sortir la tête de l’eau pour respirer. Voici sa petite frimousse à la surface 😉

Loïc est épaté de voir cette tortue spontanément s’approcher aussi près de nous

Glück a repéré une raie au fond de l’eau

Alex aperçoit un autre groupe de tortues près de la mangrove

Glück propose à Loïc d’aller voir ce rocher d’un peu plus près pour y observer ses habitants

Les crabes rouges des Galápagos

Loïc n’est pas très rassuré et préfère qu’on s’éloigne un peu

pour rejoindre le reste de la famille

Victor est vraiment très à l’aise aujourd’hui!

Gabriel nous montre ensuite un endroit un peu spécial : une grotte où vit une colonie de requins

Que d’émotions !!!!

Et puis il y a la mangrove… un vrai labyrinthe aquatique naturel…

On s’y perd…

On se prend pour des explorateurs…

Et soudain une apparition tout au fond… accroché sur une branche morte…

Un Nhiccopampe !!!!! comme dirait Loïc 

Une vision presque irréelle ??!!!!

Quand Dame Glück était petite, elle pensait que c’était un animal imaginaire… une légende…

Mais il est là !!! Bien là sous nos yeux

Gabriel nous appelle ! Il se passe quelque chose là bas aussi !

Un serpent de mer (à priori un Hydrophiinae)

… venimeux à souhait !

On a découvert après que ce serpent marin noir et jaune a un venin plus puissant que toutes les espèces de serpents terrestres d’Amérique du Sud.

Heureusement les morsures son rares et lorsque elles se produisent, il est rare que le venin soit injecté, et les symptômes d’envenimation sont souvent inexistants ou insignifiants.

On va ensuite se réfugier vers des espèces plus tranquilles

Au bout d’une bonne heure les troupes sont fatiguées… et on commence un peu à se refroidir

Le repas nous attend sur le bateau mon Lolo !

On a donc fait un long et magique snorkeling tous ensemble. Un moment d’autant plus appréciable que rare, car la plupart du temps nous devons faire plusieurs équipes et profiter a tour de rôle.

3 SUPER VIDEOS !!!!!

 

 

 

 

 

 

 

 

Galápagos : Les Flamants Roses de Isla Isabela

Galápagos: Isla Isabela (Puerto Villamil). On revient à 14h30 au centre du pueblo bien rincés et affamés .

Mais nos “cantinas” habituelles sont fermées. On en trouve une autre un peu plus loin, très bien aussi.

Après, on essaie  d’aller à la plage mais les vagues sont fortes, marée haute, il n’y a personne dans l’eau. Du coup ,on se méfie et on reste prudents ! On rebrousse chemin et on décide de faire la balade à la laguna Villamil.

C’est une jolie petite balade de 2 km sur des pontons au milieu de la lagune où on peut voir des iguanes marins nous barrant le chemin (comme souvent depuis quelques jours),…

…des lézards…

… des flamants roses

Les flamants roses des Galápagos font partie des plus grands du Monde

L’eau de la lagune aussi est bien rose

Les petites pommes ( manzanitas) sont toxiques… sauf pour les tortues

Des petits lézards de lave à tête rouge. Victor adore tellement qu’on va tous les compter. Et puis ça motive les troupes pour continuer à marcher car nos vaillants bonhommes sont quand même un peu fatigués ….

On invente donc un petit jeu ou le 1er d’entre nous qui voit un type d’animal marque des points, le barème ayant été choisi en fonction de la rareté et de la difficulté à l’apercevoir . les garçons sont à fond !!!!!

Les iguanes font trempette dans la lagune rouge au milieu des flamants roses

On rentre en faisant un stop à la boulangerie car on est dans le bon créneau des heures d’ouverture, et il faut bien viser !

On ne le regrettera pas car en plus du pain pour le petit déjeuner de demain matin, on a pris du pudding, du gâteau banane et du gâteau à l orange pour le goûter, miam !

Les habitants se réveillent tout juste de la sieste et préparent une grande fiesta pour ce week-end !

On rentre à pied

On s’installe  sur la terrasse de notre pension  où on passera un long moment en compagnie de Jackson,

On l’invite à se joindre à nous pour partager le goûter

L’eau potable aux Galápagos un produit rare et précieux. Nous, occidentaux, qui vivons dans l’opulence, on ne se rend pas compte de notre chance d’avoir de l’eau potable très facilement à disposition.

Puis on part manger en ville. Presque tout est fermé ! Même dans les petites tiendas on ne trouve pas de quoi se faire la cuisine

On trouve nos menus habituels dans une pizzeria où le patron est fier de nous montrer qu’il parle bien français. Et on y mange bien !

Notre après-midi en video :