Mardi 24 avril 2018 : La Havane. Parque Central. Cuba
Il est déjà 15h30. Après notre balade en bus, nos ventres grondent car on n’a pas mangé ce midi. On se lance à l’assaut des rues piétonnes à la recherche d’un bon petit resto latino.
Une Mama veille sur le quartier, cigare cubain au bec.
On arrive dans La Calle Obispo… visiblement la rue la plus animée avec ses bars, ses clubs et ses resto.
Malgré l’heure avancée,on n’a aucune difficulté à trouver une pizzeria ouverte pour contenter les ventrous affamés de Lolo, de ses frères
et de Legoglück
Un fois bien repus, on continue notre virée le long de cette ruelle animée
ça chante, ça joue, ça danse…
C’est l’heure de la sortie des écoles
Comme dans la plupart des pays qu’on visite depuis un an, l’uniforme est de mise.
C’est LA rue commerçante presque chic du pays (et d’ailleurs probablement la seule avec de belles boutiques comme on l’apprendra plus tard). Fidel voulait faire de cette rue une vitrine du pays. En réalité une extrême minorité des cubains a les moyens d’acheter des choses ici. La plupart des locaux viennent seulement faire du lèche vitrine. Vous verrez que dans quelques instants, en quittant cette rue restaurée, la réalité du pays et la misère.
Partout des musiciens
des Mamas qui dansent
En video :
On essaie de trouver un accès internet : impossible. A Cuba, pas de connexion facile avec le reste du Monde. ça va être compliqué d’organiser le reste de notre voyage. On trouve une agence locale pour nous renseigner. Mais non, rien à part quelques prospectus pour des sorties toutes organisées à la Havane. Rien d’autre . Or nous ce qu’on cherche c’est découvrir les habitants de Cuba chez eux dans les villes et les campagnes. ça s’annonce difficile.
On peut dire qu’on est dans un quartier folklorique.
A chaque coin de rue le culte du “Che”
Un vendeur à la sauvette a réussi à nous convaincre d’acheter des casquettes pour protéger nos niños du soleil
Mais progressivement pendant ce séjour cubain notre opinion sur “le sauveur” de la nation va vite se modifier…
On passe devant Jose Mari
Le pauvre se fait chier dessus en permanence
Ici les bus scolaires sont du même gabarit que les voitures
On retourne chez nous en passant par le Parque Central
et ses folles mascarades…
En s’éloignant du centre touristique, on va revenir dans la réalité cubaine… Fini la poudre aux yeux pour touristes naïfs !
En video :
C’est toujours très surprenant de retrouver un monde “arrêté” dans le temps. Sont drôles les mini-glücks avec leur casquette ” fidel”!
C’est quand même chouette que vous ayez pu voir et vivre ce monde particulier !
C’est bien agréable aussi de retrouver votre blog ! Merci à notre petite tribu