Il est temps pour nous de quitter le Japon et ses carrefours déroutants avec nos sacs à dos. Pas facile car on a le dos cassé par les futons sans matelas. Et une longue journée de transport nous attend.
Un bon café et ça repart dans le shinkansen direction Tokyo Station
Certains ne quittent pas leur doudou pendant les 3 heures de trajet
Arrivée à Tokyo Station. On n’aime vraiment pas cet endroit (à la différence de Kyoto Station) avec ses longs couloirs surpeuplés, déroutants, mal indiqués, sans aucun banc.
On est obligés de s’asseoir sur les escaliers, fatigués et les jambes lourdes, au milieu de passants qui râlent et bousculent.
Il faudra attendre 1 heure le train Narita “express” (Nex)
direction l’aéroport de Tokyo
Sauf que le trajet (1 heure) est rallongé : un “aliéné” bloque la voie et il faut que les forces de l’ordre l’évacuent
Des tournesols vaporisateurs nous accueillent à l’aéroport de Tokyo. Au revoir les gadgets kitschs japonais !!!
En vidéo :
Au revoir les superettes.
Nous avons désormais un sac de plus : nos 3 sacs ont fait un Petit : un léger mini-sac rose plein de jouets “light” 😉
Un dernier repas dans le mall avant de décoller : les restau japonais resteront un top pour nous
Enregistrement : direction Cairns
en jet star (service minimum)
8 heures de vol avec le dos cassé. Extinction des lumières à minuit et réveil dès 3h00 pour le petit déjeuner. Rude
On est tous crevés mais contents d’aller à nouveau explorer l’Australie.
Comme apparemment le sujet est un de ceux qui préoccupe tout particulièrement les Japonais, un article sur leurs toilettes high-tech s’imposait !
Il est tout particulièrement dédicacé à quelqu’un qui se reconnaîtra sans aucun doute 😉
Tout d’abord, on a droit à une explication sur la manière adéquate de s’installer ! ????
puis, les instructions sur la chasse d’eau ….
et bien sûr, sur le lavage des mains !!!
ça, c’était pour le côté simple !
Passons maintenant au panneau de commande, c’est un poil plus compliqué.
Sur ce modèle, une chance, le bouton orange est détaillé : c’est le stop !!!! Cette information précieuse aurait évité bien des mésaventures dans un certain aéroport 😉 !!!!
Pour la touche ornée d’une petite note de musique , il nous a fallu l’explication d’un spécialiste de la culture nippone ; on avait bien essayé mais n’obtenant qu’un bruit de chasse d’eau ???? pas trop vu l’utilité ! Et bien c’est tout simplement pour que dans les lieux publics, les japonaises trop pudiques puissent se soulager sans être entendues de leurs voisin(e)s
Dans notre maison de Kyoto, nous avons en prime droit à la notice explicative pour le rouleau de PQ. Ils nous ont quand même évité celle de la brosse, ouf !
Legogluck en est tout retourné tant cela le laisse perplexe 🙂
Bon, cette fois les petits schémas parlent d’eux-mêmes: il y a le bouton pour monsieur et le bouton pour madame !
Et pour répondre à une question-défi qui nous a été posée avant le départ : oui, Pooridge le mystère a été percé et le tuyau rétractable démasqué ! pas assez rapide pour madame Glück 😉
Et le petit détail qui achève, les nôtres sont garnies d’un lavabo ! Au début, on l’avait injustement réduit au rang de simple lave-mains , mais pas que !!! l’eau utilisée est directement réinjectée pour remplir le réservoir ! si ça c’est pas bien pensé !!!
on n’a pas résisté à mettre la démonstration, en images :
Après 4h de shinkansen, on arrive épuisés et affamés à la gare de Kyoto.
On y mange dans une bonne pizzeria de la galerie souterraine. Avec un vrai buffet de crudités. Tout le monde est ravi. Victor s’endort à la fin du repas ce qui nous oblige à le porter en plus des sacs à dos jusqu’à notre nouvel appartement.
Celui-ci est heureusement tout près à 5 minutes de la gare.
C’est étonnamment très calme, un peu petit mais propre et fonctionnel (pas de vraie cuisine). Et comme d’habitude pas de rencontre directe avec l’hôte. Les japonais ont un drôle de sens du airbnb. Aucun contact avec nos hôtes à la différences des autres pays que nous avons visité.
La gare de Kyoto est une merveille architecturale et nous ne nous lassons pas de l’arpenter dans tous les sens pour l’admirer. D’ailleurs, elle mérite un article à elle toute seule.
La tour de Kyoto
Les hôtesses d’accueil stylées
Des trains d’écoliers
Des darks vadors
Et la nuit tout s’illumine
Vue du toit de la gare au 15e étage
Avec un show fêtant les 20 ans de la gare
avec le son :
Nos dernières courses avant le départ : ici pas de Law-Law comme dans Tiburce mais des Law-Son
Le lendemain nous prenons le train rapide jusque Tokyo pour nous envoler en Australie. YES !!!
Du centre d’Hiroshima, on prend le tramway 1 jusqu’à la gare puis le train JR jusqu’à la gare de Miyajimaguji
Les enfants saturent du train
Mais ils sont heureux de revoir la mer et prendre le ferry jusque l’île Miyajima.
Un peu tristoune sous la grisaille mais les enfants ont adoré les 10 minutes de traversée sur cette mer (un peu polluée) au milieu des parcs à huîtres.
Le torii géant flottant est l’attraction de l’île
Des cerfs un peu apprivoisés nous y attendent. Beaucoup de touristes et de boutiques de souvenirs mais le lieu est agréable au bord de l’eau avec cette magnifique montagne sauvage. Sur cette île sacrée il est interdit de naître ou de mourir.
Les huîtres sont la spécialité locale. D’ailleurs, elles sont plastifiées en vitrine elles aussi
Un gardien de luxe
Le repaire des jeunes japonais branchés ?
Malheureusement tous les animaux ne sont pas bien traités comme les cerfs. Ce petit singe est martyrisé par cette mégère juste pour faire le foire et gagner de l’argent. Elle n’hésite pas à le frapper et l’étrangler quand il refuse de faire le tour qu’elle demande. Ecoeurant.
Devant le temple, un jeune couple se fait photographier
et la belle-mère vient mettre son grain de sel et engueule le photographe. Elle n’a pas l’air commode
Arbre millénaire ou ce qu’il en reste
C’est l’heure de se mettre à table
Huitres frites
ou bouillies
et bière un peu trop sucrée
Une petite glace wasabi ??? on n’a pas tenté de savoir
N’est ce pas Mater ?
Nos aventures en vidéo :
On ressort sous une pluie battante et on court jusqu’au ferry. Puis train jusqu’à la gare d’Hiroshima
Stop au centre commercial pour acheter quelques jouets (légers pour nos sacs de tourdumondistes)
Dans le hall du centre commercial un pépé pousse la chansonnette devant la foule en délire…. euh non en fait
avec le son :
Le soir nous découvrons par hasard un super restau fréquenté par des locaux. On n’y parle pas un mot en dehors de japonais. On galère un peu. On se pose des questions. Mais nos voisins de table nous voyant en détresse, nous aident à choisir et nous font même goûter leur plat.
Les clients parlent fort, rigolent, fument et sont habillés de manière non conventionnle. Les plats sont commandés sur tablette. On goutera un peu de tout. Ça arrive tout chaud et c’est finement préparé au fur et mesure. Les enfants repartent même avec des jouets.
Nous rentrons dans notre studio crasseux. Et nous rangeons les gunpla fraichement montés dans nos sacs car nous quittons bientôt le Japon
On quitte notre appartement le dos cassé à force de dormir par terre sans matelas. On est fatigués pour prendre le train shinkansen direction Kyoto
Un petit souci avec la machine ?
ben oui là c’est mal barré !
changement de train à Shine-kobe… des gens pique-niquent sous la gare
Nous quittons notre sympathique maisonnette de ville sans avoir eu l’honneur de rencontrer nos hôtes (dommage encore une messagerie éléctronique). Départ de Kyoto en Shinkansen : direction Hiroshima
La ville reconstruite est moderne et aérée, plein de dynamisme
Nous prenons le tramway jusqu’à l’arrêt Chuden-Mae . Des rames de plusieurs générations se côtoient. En particulier il en reste deux qui étaient déjà en service avant que la bombe n’éclate. Nous essaierons de les trouver mais sans succès.
On est tassé mais les gens sont beaucoup plus cool ici. Habillés moins strict et plus souriants. Arrivés à l’appartement comme d’habitude pas d’hôte mais juste une boîte mail avec des instructions.
C’est très bien situé mais…. voici ce qui fait office de lit – salle à manger pour 5…. un coffre lit “futon” sans matelas et juste quelques coussins.
On va avoir mal au dos !!! Et en plus c’est sale et vetuste. Sans compter le bruit du voisinage et de la route… on ne dormira pas très bien ! Et manger non plus car la cuisine est inutilisable.
Nous nous lançons à la découverte de l’Histoire
Le dôme sous ce ciel a un côté surréaliste et émouvant
C’est un des seuls bâtiments qui n’a pas été réduit en cendres par la bombe A et pourtant il était à l’épicentre
Avant et Après
Depuis la vie a repris de plus belle. Et Hiroshima est une ville optimiste et tournée vers l’avenir
Le dôme vu du mémorial
Les tickets du musée
Ça fait froid dans le dos mais c’est traité de manière un peu impersonnelle. On trouve que les japonais sont un peu sévères avec les survivants et traitent les choses froidement.
Les écoliers viennent étudier le passé de la ville
cette montre s’est arrêtée à 8h15 du matin le 6 aout 1945
Depuis le temps a passé et la jeunesse a reconstruit la ville sur les cendres
avec de nombreux témoignages commémoratifs en hommage aux victimes
De nombreux origamis en mémoire de Sadako Sasaki, une petite fille morte à l’âge de douze ans d’une leucémie due à la bombe atomique. C’est devenu un symbole de la paix.
Quand on lui diagnostiqua la maladie, une amie lui raconta l’ancienne légende japonaise : quiconque confectionne mille grues en origami voit un vœu exaucé. Sadako s’attela dès lors à la tâche. Elle confectionna au total 644 grues de papier avant de mourir.
L’histoire de Sadako eut un profond impact sur ses amis et sa classe. Ils finirent de plier les 1000 grues et continuèrent cette activité afin de collecter de l’argent en provenance des écoles japonaises pour construire une statue en l’honneur de Sadako et de tous les enfants frappés par la bombe.
Au restau près du dôme, nous mangeons dans un restau italien. Une grosse découverte gustative : le lemosco. Un dérivé japonais du tabasco fait à base de citrons d’Hiroshima. Une merveille
Dans le parc nous faisons la rencontre d’une famille tourdumondiste comme nous, la famille Baltzer : Ryme et Raphaël ,et leur enfants Thalie et Sohan. Le courant passe tout de suite bien. Nous avons plein de choses en commun. Nos itinéraires, nos envies et nos projets se ressemblent
Les enfants sont heureux de passer du temps ensemble. Thalie et Alex refont le monde. Pendant que Sohan et Loïc jouent dans les arbres.
Nos chemins se séparent ce soir mais nous nous donnons rendez-vous sur un autre Continent. On fera tout ce qu’on peut pour se le faire ce restau ensemble et parcourir un bout de monde avec vous 😉
Après notre (trop) long trajet en train depuis Nara. Nous descendons à la gare de Nijo. ça faisait plusieurs jours qu’on voulait aller voir un film d’animation dont on avait repéré l’affiche
CINEMA en lettres latines
pop corn ne s’écrit pas en japonais non plus ?
Démarrage en mode romantique une vraie guimauve…
Avec de la magie…
Et plein de clichés
Le tout en japonais non sous-titré ; on n’a pas tout compris
mais y avait-il quelque chose à comprendre ?
Le film est un peu spécial mais pas si désagréable à regarder (sauf pour Loïc et Victor qui ont détesté).
Un jeune français (Rémy) nous interpelle en bas de la salle de projection. Il est au Japon depuis 3 jours et passionné par le pays. Il connaît un peu la langue japonaise et nous décrypte comme il peut ce film romantico-psychedelique.
On discute et on sympathise. Contents de pouvoir discuter et en échanger nos impressions sur le Japon. On va prendre un dessert ensemble.
Détour par les salles de jeux (réservés aux adultes le soir)
C’est un peu vide… passé de mode ?
Ici on peut se relooker dans une cabine photomaton
et gagner un doudou
trop chouette !?
Retour at home en passant faire quelques courses car il n’est pas encore eleven 😉
Le lendemain. Après la pluie, le beau temps.
Des japonais bourgeois fiers de savoir parler anglais nous demandent d’où on vient et pourquoi on voyage avec des enfants ?????
-Mais comment vous faites pour les faire manger ?
-On leur répond “ben on fait la cuisine et ils ouvrent la bouche” et alors on va au restau
– Au restau avec des enfants !!!! (regards horrifiés) et ils ne pleurent pas?
-Ben non pourquoi ? Parfois ils crient ou ils se battent
– Ah???? (au bord de la syncope)
– Mais vous savez ce sont des êtres humains comme les autres, juste en plus petits formats… fin de discussion car la moutarde monte au nez de Mme Glück
Bus (un peu bondé) et visite d’un “Incontournable” : le Temple d’Or. Il est 16h40. Et ça ferme dans 20 Minutes.
On espérait une belle balade dans les jardins, mais c’est minuscule avec beaucoup de bousculade. Par contre c’est très photogénique
ça ennuie les enfants, alors on leur raconte qu’Esteban, Zia, et Tao sont à la recherche de cette cité d’or
Dans la gare de Kyoto, on se sent presque à la maison
Dans la gare de Nara aussi (après une heure de train)
Et dans les rues de Nara comme partout dans le monde
On prend le bus qui relie la gare aux lieux touristiques de la ville en boucle. On essuie un énorme orage. On fait donc 3 tours complets avant de descendre enfin. Victor en profite pour dormir un peu.
La ville est très aérée. Dans le parc des dizaines de daims (en fait des cerfs sika) se baladent en liberté.
Dès la sortie du bus, les cerfs viennent à notre rencontre. Les cerfs sont considérés comme des animaux divins, protecteurs de Nara et de tout le Japon. Les Japonais doivent s’incliner sur leur passage, et, jusqu’en 1637, tuer un daim est passible de la peine de mort.
Plus d’un millier cerfs quasi apprivoisés errent en liberté dans la ville en quémandant de la nourriture aux touristes
Les cerfs sont partout autour des vieux monuments
Pause bien méritée
Nara est une petite ville et fut capitale du Japon au VIIIe siècle. Des groupes d’écoliers sont venus visiter le site du Tōdai-ji (東大寺)
La porte d’entrée est fièrement gardée
Le Daibutsu-den (大仏殿) est le bâtiment principal du Tōdai-ji (東大寺). Avec 57 m de long et 50 m de large, c’est la plus grande construction en bois du monde.
A l’intérieur le Bouddha Vairocana en bronze (16 m de haut, 437 tonnes). A oui quand même !
Nous rentrons sous la pluie. Bus puis train (on mettra 2h car on a pris le train local qui s’arrête partout) !!!
Matinée pluvieuse. Malgré tout nous décidons d’aller visiter la très touristique bambouseraie d’Arashiyama. C’est pas très loin de chez nous en train.
Comme d’habitude la foule nous y attend. Et comme d’habitude des filles qui se selfient en kimono
La bambouseraie est photogénique mais toute petite et ça ne nous occupera pas toute la journée…
Alors on part explorer la campagne
Et c’est un régal. Les environs de Kyoto sont splendides
Au Japon les montagnes sont sacrées et ça nous change des grosses villes sans verdure
Et si on allait jouer à Tarzan?
On longe la rivière
Et on rencontre un vieux monsieur qui joue avec des bateaux radiocommandés qu’il a lui même fabriqué. Ce sont des répliques exactes des bateaux qui naviguent sur la rivière.
Gros plan sur les chaussures 2 doigts des tireurs de pousse-pousse
A midi Asahi et nouilles pour Legoglück. Un couple partage cette table avec nous.
Glace au thé vert au bord de la rivière
Direction la montagne des Macaques
ça grimpe fort et nous sommes loin de la foule
Les singes sont en liberté
Et dès l’approche du sommet nous en voyons
Contrairement aux apparences, ce singe n’est pas en cage …
mais c’est nous qui le sommes pour les observer en sécurité
Un bon moment pour les enfants de voir ces singes en liberté
On traîne un peu ce matin. Et Glück essaie de trouver un programme qui motive les troupes vu la morosité montante. C’est un casse tête car le lonely planet (et le guide vert un peu moins) sont très mal faits. Un catalogue imbuvable avec des bouts de cartes illisibles.
La ville est peu desservie par les transports en commun. Mais nous trouvons un moyen d’atteindre Karasuma via le train puis le métro
Nous y trouvons une petite librairie avec des livres en anglais et des jeux pour les enfants. Les “LaQ”, une sorte de lego local très bien conçus nous a séduit. Et c’est dans le sac. Avantage : léger et peu encombrant 😉
La clinique cardio-vasculaire recrute chez ses voisins. Les mangeurs de pancakes connaîtront déjà le chemin
Et nous voilà à l’entrée du marché de Nishiki
Très sympa, coloré. Long, étroit, et couvert. Commerçants très gentils.
Des épices qui viendront agrémenter nos plats quotidiens
On achète de-ci de-là au gré de nos envies tout en mangeant en se baladant. Des œufs de poulpe sur l’impulsion d’Alex (et ce fut très bon !)
Des beignets de légumes appétissants mais lourds et insipides
Les algues à sushi
Fabrication de biscuits style Jules Destrooper au petit pois ou maïs (vraiment excellent). Un régal pour les yeux et le ventre.
A la sortie du marché, nous atteignons les galeries commerçantes modernes et moins typiques, avec les mêmes enseignes que partout dans le monde
Des petits temples partout
Une machine infernale !!!! Et un vieux Monsieur qui sait parler français… chose rarissime ! Nous aurons donc l’explication. Cette machine est en fait plutôt sympathique ; elle sert à fabriquer des cercles qui calibrent les biscuits
Et nous arrivons dans le quartier de Gion
Bonjour !
Il se met à pleuvoir. Victor s’endort.
Promenade dans le parc maruyama. Enfin de vrais enfants et notamment un jeune japonais du même âge que Loïc qui joue avec nos marmailles !
A la sortie du parc, rencontre imprévue avec deux Geishas. C’est une rencontre rare car elles ne sont plus qu’une centaine au Japon. Malgré la pluie, elles acceptent de prendre la pose avec nous.
Elles ont été très gentilles avec les enfants
malgré tout Loïc est effrayé par leur maquillage et nous dira ; “Pourquoi elles sont déguisées et peintes en blanc les dames ?”
L’électricité c’est comme à Pékin
Le quartier traditionnel de Gion avec ses ruelles et ses maisons tout en bois. Ici à shirakawa dori, nous sommes dans le lieu des vénérables ochaya et okiya (maisons de geishas)