Dernière soirée au Mexique (Playa del Carmen) avant un hypothétique départ pour Cuba

Dimanche 22 avril 2018 : Bacalar, Mexique

Après notre super journée dans les eaux tumultueuses de “Los Rapidos” nous reprenons la route vers Playa del Carmen

4 heures de route toute droite en repassant par Tulum

Et en suivant les fameuses cox mexicanas ! et elles ont du coffre

On refait le plein d’essence. Et encore une fois le pompiste essaie de nous rouler, mais cette fois, on ne se laissera pas faire eh eh

On s’approche de Playa del Carmen avec ses centaines d’hôtel de luxe le long de la côte.

On arrive vers 19h30 à l’hôtel (Maya Turquesa). Impossible de se garer alors qu’il était censé y avoir un parking. On sort nos bagages à l’arrache pour les mettre dans le couloir de l’hôtel. Sauf que le Check in est interminable avec une réceptionniste nouille. 

L’hôtel est sympa avec une jolie piscine dans un patio. Et on compte bien en profiter. Sauf qu’il faut qu’on rende la voiture avant que l’agence de location ferme.

On monte vite fait les bagages dans la chambre puis on file rendre el caro à l agence dollar, ouf, tout est ok 🙂

On passe devant les nombreux bar branchés de Playa

De retour à l’hôtel (à pied, forcément !), on réserve le transfert en taxi pour le lendemain. Il est trop tard pour se baigner car on a RDV avec Alizée qui nous rejoint pour aller manger

Alyzée nous conseille d’aller au plus près, à l’Italien du coin de la rue qui est très correct.

Excellente soirée !

On se boit 3/4 l de cerveza chacun (enfin pas les enfants bien sûr !) car on a besoin de décompresser après avoir tant speed les derniers jours.

On se couche bien vite en rentrant dans notre petite chambre commune à l’hôtel, après une petite douche juste pour Loïc qui a eu la turista.

On se réveille très tôt, une heure avant le réveil. Glück culpabilise de ne pas avoir renvoyé les fiches d’inscription pour la rentrée des classes des petits. Car après cette année d’itinérance on prévoit un retour à la Réunion dans 3 mois. Il le fait pendant que Dame Glück finalise les sacs et répond à quelques messages.

Le taxi est à l heure et nous amène comme convenu à l aéroport de Cancun. Il est très agréable. En discutant avec lui on découvre qu’il travaille 7j/7 et parfois même la nuit pour pouvoir élever ses enfants . Le vie est souvent dure au Mexique. Beaucoup de mexicain viennent ici au Yucatan pour trouver du travail et s’éloigner des régions peu sécurisées comme Acapulco qui est en faillite et les campagnes où la misère régne. Le contraste est saisissant ici car de nombreux gringos (touristes étrangers souvent des US) viennent dépenser des fortunes pour profiter des plages de Cancun et des attractions diurnes et nocturnes. La péninsule du Yucatan est un eldorado dans un Mexique en pleine crise politique et sociale.

On est un peu stressés de ne pas pouvoir décoller pour Cuba, surtout Glück car pour l’instant on n’a trouvé aucun moyen d’obtenir un visa sans passer par un consulat. Or le plus proche est à plus de 1600 km. C’est ballot quand on sait que la Havane n’est qu’à 500 km d’ici à vol d’oiseau. Mais il  y aurait un filon dans l’aéroport de Cancun…

Au bout d’une heure de route, nous voici à l’aéroport de Cancun. Une dame nous indique qu’on peut faire les 5 visas sur place. YES ! Et en moins de 5 minutes les formalités du visa pour cuba sont réglées, il n y avait donc aucune raison de s’en faire !

On va prendre un solide petit déjeuner : café , burgers et gâteaux. On se pose unpeu  jusqu’à l heure du Check in

La file du check-in n avance pas. Pas grave. Un gringo qui attend aussi en profite pour y faire un petit concert 😉

Sur le tarmac…

… ça bouchonne aussi. Et pas facile de passer devant une hôtesse peu compréhensive qui veut absolument qu’on présente chacun nos passeports un à un avec 3 petits gars de 10, 6 et 3 ans !

en video :

Décollage

au dessus des lagunes et du lagon

des golfs et autres parcs d’attraction

La ville de Cancun compte à elle seule près de 1 million d’habitants. Elle est divisée en trois parties :

voici la célèbre zone hôtelière et touristique, située sur une bande de terre de vingt-trois kilomètres entre la mer des Caraïbes et la lagune Nichupte

voici la partie sauvage avec un zoo

et au loin plus dans les terre, la zone urbaine, où se regroupe la majorité de la population et où sont installées la plupart des institutions de la ville.

Adios Mexico… on t’a adoré !

Bon bah là on est vraiment HS !

1h30 de vol – 500 km. Cuba nous voilà !

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